La patience

                        Sous le regarde de la rue

 

 

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Après avoir passe le mois de juin sur le trottoir suite l'intervention du service d'ordre de la CGT qui ce fit en violence et en lâcheté, début juin.
Car c'est a grand coups de matraque et de bombes lacrymaux qu'ils ont délogée les quelques enfants, vieux, femmes qui ce trouvaient dans la bourse de la rue charlot.
Mais leur lutte continua sur le trottoir, la ou leur cris sont visible.
Et l'inconnue de la rue avait enfin une bonne raison de tendre la main a son prochain, fasse a une réalité a la qu'elle on ne peut plus tourner le dos.
Mais la volonté de change les choses, et en espèrent que la France de redevienne le pays donc les valeurs sont libertés, égalité, fraternité
Et cette lutte qui durait depuis 14 mois caché par les murs de la bourse rue charlot, devin une vitrine a ciel ouvert, témoignage criant sur le silence notre politique envers l'Afrique.
Les proposition concrète, bien qui hypocrite arrivait doucement a la manière d'une rumeur tantôt des promesses de papier, de relecture tous cela sans le moindre accord écris et signer juste as sur la bonne fois de nos dirigeants. Le petit jeu du gouvernement étais de les laissez ce fatiguez doucement, le temps feras le reste.
Mais étais sans conter sur la force de la solidarité qu'ils ont les uns envers les autre.
Et la nouvelle arriva enfin, sur les 1500 personne qui occupait la bourse depuis Mai 2008 et le bitume parisien depuis début juin 2009.Une relecture de leur dossier seras fait sur 300 (pas lourd comme promesse) Si bien sur ils sont quitte trottoir a la fin de la semaine.
Le groupe ce brisa entre ceux qui voulait reste sur le trottoir pour continuez a criez aux grand jour leur lutte.
Et ce qui on décider de faire une autre occupation dans les anciennes archive de la sécu du 75018.
Ils sont crées le  Ministère de la Régularisation Globale des sans Papiers lieux incroyable ou le temps s'arrête et l'on oublie ce que l'on est pour sentir qu'on es avant tous, homme.
Et comme les vieux de dise en Afrique.
"Tu es toubabe, moi suis noir, mais notre sang est pareil"

Franck Vibert

 

 


 
 
 



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